Concept co-conçu par Georges Henri Rivière et Hugues de Varine, expérimenté à partir de 1968 dans les parcs naturels régionaux –
écomusée de La Grande Lande (Marquèze), et en 1971 au
Creusot, l’écomusée a ensuite évolué.
Comme d’autres formes nouvelles de valorisation patrimoniale tels les tiers lieux, l’écomusée interagit avec tous et tout, sur et à partir du territoire ou de l’identité culturelle qu’il s’est fixé comme limites, se préoccupant tout autant du présent, du futur, ou du passé. Sans hiérarchie sociale ni esthétique. Tout cela bouscule les habitudes de pensée et aussi les catégories. Il n’y a pas de modèle, il n’est que des exemples :
écomusée de la Bintinais,
écomusée du Daviaud,
écomusée d’Alsace,
écomusée de La Roudoule,
Paysalp …
L’écomusée est un espace de débat, il réunit des hommes et des femmes autour de projets communs pour le territoire et ses habitants.
Cet espace ouvert et permanent met en débat les questions liées à l’évolution de la société, et est investi par des publics : acteurs (bénévoles), agents (salariés), visiteurs, membres d’une communauté territoriale ou professionnelle.